Le front des femmes

Hauteur : 170 cms – Largeur 230 cms / Matériaux : tissus, pigments, sables, colles

Une œuvre créée dans le cadre du centenaire de la fin de la guerre 14/18 pour la commune de Nissan-Les-Ensérunes

Le front des femmes rend hommage aux femmes qui ont lutté, travaillé, œuvré, à toutes les oubliées des commémorations de la guerre 14/18.
Il salue toutes celles et ceux qui, aujourd’hui, se mobilisent dans leur quotidien, pour qu’enfin hommes et femmes soient réellement sur le même pied d’égalité.
Il rappelle, enfin, la nécessité de rester solidaires, vigilant(e)s et dans l’action.

Danseuse de dos

Hauteur : 170 cms – Largeur 50 cms / Matériaux : tissus, pigments, sables, colles.

Hymne au mouvement, à la liberté du corps.
Cette œuvre aussi appelée « la femme du garage », prend naissance dans une période où, sans réel atelier, je travaille dans le garage de la maison.

La femme du vent

Hauteur : 170 cms (compris socle) – Largeur : 40 cms / Matériaux : grillage, pâte à papier, raphia, cendres, colles, fer tors.

Travail sur le mouvement.
Le moindre frémissement de vent agit sur l’œuvre. Ainsi, elle bouge, danse.
Hymne à la vie, à la légèreté, à la liberté.

Triptyque Samothrace

Hauteur : 80 cms / Largeur : 70 cms Matériaux : tissus, colles, pigments / raphia, colles, pigments, coquillages / grillage, pâte à papier, cendres

Travail sur le délitement.

A partir d’un seul modelage en terre, trois épreuves sont réalisées avec des matériaux différents. Au fur et à mesure des démoulages, le modelage initial apparaît de plus en plus délité. Ainsi, les épreuves tirées à partir de ces modelages délités deviennent de moins en moins précises.

Petite danseuse grillage

Hauteur : 38 cms / Matériaux : grillage, pâte à papier, tissus, colles.

Avec ses formes généreuses, cette danseuse là se moque bien du «qu’en dira-t-on» ! Elle tourne et retourne, s’éclate, s’enivre de mouvement. Rien ne l’arrête.

Le petit prince revisité

Hauteur : 100 cms / Matériaux : grillage, pâte à papier, siporex, colles.

Alors que j’étais en pleine recherche pour la création costume du malade imaginaire par la compagnie Les pieds dans l’ eau de Violette Campo, ce petit prince s’est imposé à moi.

Fortement inspirée par le personnage de Cléante, auquel, petit à petit je donnais forme et couleur, cette œuvre s’est construite presque malgré moi.

Exemple d’une belle complémentarité avec la création costume.